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Des réveils difficiles, des dimanches soirs stressants et des retours de vacances dont vous n’avez pas envie? Avez-vous cherché l’origine de ces malaises? Vous êtes-vous posé la question de savoir si vous étiez encore heureux au travail? Si votre évolution professionnelle se déroule comme prévu? Si la réponse est non, vous devez peut-être penser à une démission de votre poste. Quitter votre emploi devient une nécessité pour votre bien-être.
De ce fait, une autre question se pose : quand et comment quitter son emploi sans se mettre en difficulté et sans nuire au bon fonctionnement de son emploi actuel? Voici quelques signes révélateurs :
Il peut y avoir d’autres raisons que nous n’avons pas mentionnées, mais qui peuvent aussi vous pousser à vouloir quitter votre emploi et aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs.
Imaginons une situation : cela fait 3 ans que vous n’avez pas eu de promotion ni de nouvelles prérogatives, alors que d’autres personnes ont évolué. À ce moment-là, il faut parler à vos supérieurs d’un plan de carrière à l’interne qui pourrait vous intéresser. Si aucun plan n’est trouvé, vous devriez commencer à regarder ailleurs. L’herbe est souvent plus verte dans d’autres entreprises.
En voilà une question “touchy” en bon québécois. Ce tabou de l’ennui au travail persiste dans beaucoup d’entreprises. Bien que la vôtre organise des 5 à 7 pour toutes les occasions et offre un milieu de travail agréable, il arrive que l’on ne se sente plus à sa place. Vous n’avez rien contre personne, mais vous ne vous sentez plus en phase avec l’ambiance de votre milieu de travail. Ça peut arriver et vous n’êtes coupable en rien. Cela dit, c’est un signe annonciateur qu’il faut démissionner de votre poste.
Les employeurs qui ne s’engagent pas à offrir une flexibilité d’horaire et de lieu de travail voient leurs employés fuir massivement cherchant d’autres entreprises plus ouvertes sur la question. La flexibilité est devenue un gage d’attraction et de rétention de talents. Dans plusieurs pays du monde, un phénomène de démissions massives a été observé depuis la pandémie, il y a quelques années déjà. On l’appelle la « grande démission ». Des millions de personnes ont quitté leur emploi de manière subite afin d’améliorer leurs conditions de vie et de travail.
Les employeurs rivalisent de créativité pour offrir les meilleures conditions à leurs équipes. Cela passe par des régimes d’assurances qui couvrent la majorité des frais, un régime de retraite qui aide les employés à mieux épargner, des rabais et paiements de frais liés au bien-être, etc. Ces avantages peuvent parfois valoir bien plus qu’une simple augmentation de salaire. Imaginez que votre employeur, en plus d’être flexible avec vous, vous offre des congés pour concilier travail et vie personnelle, ou bien vous offre la possibilité de travailler d’où vous voulez, ou alors qu’il organise des activités qui vous permettent de tisser des liens avec vos collègues. Toutes ces « attentions » comptent pour les employés de plus en plus exigeants et soucieux de leur bonheur au travail.
En d’autres termes, vous avez fait le tour de la question. Après avoir effectué les mêmes tâches encore et encore, sans plus rien apprendre et sans la reconnaissance qu’il faut, quittez le navire et allez voir ailleurs si d’autres missions correspondent plus à vos aspirations professionnelles. Votre estime de soi sera plus grande, votre apport à votre nouvel employeur sera plus grand et vous serez plus heureux au travail. Vous pourriez même avoir hâte au lundi matin! Oui, oui, ça arrive!
Certes, nous ne travaillons pas que pour gagner de l’argent. Le travail, c’est aussi un accomplissement personnel, nous travaillons souvent pour la communauté, pour donner un sens à notre vie et pour faire le bien autour de nous. Cela dit, il faut payer ses factures, son loyer ou son hypothèque et d’autres frais. Si votre salaire ne correspond plus à vos projets de croissance : achat d’une maison, avoir des enfants, voyager plus… il n’est pas interdit de se trouver un emploi plus payant. L’argent contribue au bonheur, même s’il ne le fait pas. Ce n’est pas tabou de le penser. En plus, votre expérience accumulée peut valoir un plus haut salaire.
L’attrait envers les régions, les banlieues et d’autres pays ne cesse de croître. Aujourd’hui, plus que jamais, certaines industries offrent une mobilité et une flexibilité du travail. Par exemple, vous pourriez habiter à Sept-Îles et travailler pour une entreprise basée à Montréal. Vous pourriez aussi être à l’autre bout du monde et travailler pour une entreprise dans votre domaine. Ainsi, si vous avez besoin de changer d’air ou de retourner à vos sources, cela peut être possible, pour peu que vous trouviez LA bonne opportunité de carrière. Que vous vouliez vous installer dans une grande maison pour y voir grandir vos enfants ou bien devenir nomade et voyager en travaillant, le télétravail rend tout cela possible.
On va se le dire clairement et en toute transparence, le métier de gestionnaire n’est pas donné à tout le monde. Même si des études et des formations existent, la gestion d’une équipe est aussi une attitude et un comportement à adopter et à maintenir en tout temps. Il peut arriver que vous ne vous entendiez pas avec votre gestionnaire. Cette ambiance peut devenir rapidement toxique. Dans ce cas précis, fuyez le plus vite possible. Supporter une pression due au travail peut être acceptable à l’occasion, mais des personnes toxiques, non.
Une fois que vous avez trouvé la raison qui vous fait quitter votre emploi et trouver un nouveau, comment faire? Comment annoncer à vos supérieurs que vous partez, sans créer un impact négatif sur la suite de votre carrière?
Quelques étapes sont nécessaires avant de partir pour de bon. Les voici.
Demandez à voir votre gestionnaire pour faire part de votre envie de quitter votre poste. N’ayez pas un ton grave, soyez positif et expliquez clairement pourquoi vous avez pris votre décision. Être honnête à ce moment précis est une chose très importante. Ainsi, si quelque chose n’a pas fonctionné pendant votre passage dans l’entreprise, celle-ci pourrait l’améliorer à l’avenir au profit d’autres talents. Vouloir partir ne signifie pas forcément que votre employeur a fauté avec vous.
Pendant la réunion avec votre gestionnaire, celui-ci vous proposera deux solutions, une démission sur-le-champ ou le travail pendant une période de préavis. Il est important de fixer la durée de cette période afin d’assurer le bon déroulement de la transition. Même si vous avez hâte de commencer ailleurs, c’est primordial de laisser de bien quitter votre employeur. Les références valent de l’or, toujours!
Voilà une étape qui a toute son importance. Faites les choses en respectant les formalités. La manière la plus professionnelle de quitter son poste est de rédiger une lettre de démission qui expliquera brièvement les motifs de votre départ et les modalités de la transition. Rédigez votre lettre de démission tout en remerciant votre employeur pour tout le travail accompli et pour tout ce que vous avez appris pendant l’exercice de vos fonctions. Pour vous aider dans la rédaction de votre lettre, nous vous avons rédigé un modèle sur lequel vous pouvez vous baser.
Ce point paraît évident, mais pas tant que ça. Certains employés tellement pressés de quitter leur emploi oublient certaines règles de courtoisie. N’oubliez pas que la vie est longue et faite de surprises. Vos collègues, qu’importe la relation que vous avez avec eux, peuvent vous revoir ailleurs, retravailler avec vous, etc. Laissez un bon souvenir de votre passage au sein de l’entreprise.N’oubliez pas de nettoyer votre bureau durant votre dernière journée de travail et de rendre tout ce que l’entreprise aurait pu vous donner : ordinateur, carte d’accès, uniforme si nécessaire…